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Mohamed Ali Elhaou
3 min de lecture


Mohamed Ali Elhaou
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Mohamed Ali Elhaou
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Mohamed Ali Elhaou
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Mohamed Ali Elhaou
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'Statue en pierre', 'Timthal Hjar', de Karim Achour : invitation à la démythification des grands récits
Cette fable se déroule à l'université des beaux-arts. Celle-ci célèbre le trentième anniversaire du décès d'un personnage symbolique pour la culture nationale, "Le capitaine Nout". Pour ce faire, un sculpteur de renom est chargé de mémoriser et d'éterniser son souvenir afin qu'il devienne un symbole de "lutte", de "dignité" et de "bravoure" dans sa société. La pièce aborde, sur le fond, la récupération des artistes à des fins de glorification politique et même sacrée, car le


"Et si" de Fethi Akkari au Rio : représentation en miroir de la décadence sociale
Le plus souvent, le personnage de "Si Béchir" témoigne d'une douleur sociale, une frustration permanente des autres jeunes personnages qu’il rencontre sans pouvoir pour autant les consoler. Il constate ainsi et partage le périple et la faiblesse de l'acteur social en face de certaines atrocités de l’existence vécue. Dans d'autres configurations, "Si Béchir" fait sentir au spectateur à quel point un individu peut aller dans la démence et la criminalité car il ne trouve pas de


"Lalalam" de Hessine Grayaa et Foued Zazaa : belle narration du syndrome de repli sur soi
"Lalalam" met ainsi le spectateur dans une marginalité qui est en train de gagner du terrain et pouvant frapper chacun de nous dans une société incertaine, dangereuse et sans morale malgré la démonstration ainsi que la prolifération de la religiosité. Pièce pleine de tendresse, à voir absolument, Hessine Grayaa, maîtrise parfaitement son outil de comédien, son objet et son art. Il est d'une justesse inégalable dans le jeu dramatique et s’insère dans l’univers de "Cast Away"


"Free Fall" de Marwen Missaoui : pièce amateure sympathique !
Le spectateur sort avec une légèreté, un sourire au visage même si le sujet est lourd, car il voit une photographie pointue et juste de la société dans laquelle on vit. La prise en charge au final de Moncef avant qu'il ne passe à l'acte a permis de sauver la mise. C'est donc bien plus de peur que de mal. Un happy-ending, au fait, dont le spectateur a besoin en ce moment au théâtre, pour pouvoir faire face à un avenir pas toujours reluisant.


"Billa roujouâa", (Sans retour) de Ghassen Mrabet : relations toxiques dans un univers de démesure
Les personnages présentés dans cette fable, à plusieurs strates, n'arrivent pas à construire une relation de couple saine. Ce mille-feuille d'histoire est conçu, à vrai dire, de manière huilée, c'est-à-dire très fluide, avec la présence de la musique, du chant et en même temps des dialogues intenses à la fois de façon verbale et non verbale.
Les costumes de la pièce "Billa Roujouâa" choisis sont très sexy et stimulent l'inconscient de chaque spectateur ; univers de prédile


Taoufik Jebali, humble créateur de 4ᵉ art : essai de portrait d'un artiste hors système durant 40 ans et plus
Taoufik Jebali, ce nom qui, lorsqu'il est mentionné, fait respirer le théâtre tunisien de ses tripes, comme si le(a) passionné(e) du 4ᵉ art ouvrait une fenêtre sur une mémoire vive qui ne s'éteint jamais. Fils de Ksar Hellal, né en 1944, Taoufik Jebali a rencontré le théâtre au hasard, ou peut-être pour échapper à un monde de brutes. Au départ, il a fait des métiers liés aux médias. Il a travaillé à l'ORTF en France et a bien fait de la radio. Cette ORTF va devenir France Tél


أكتوبر الوردي بالمركز الثقافي الخاص "آرت فيزيون" بالمدينة الجديدة ببن عروس : معرض الفنون التشكيلية ينثر الشّفاء والآمال ضد مرض سرطان الثدي
لامست الأعمال الفنية المعروضة المشاعر والأحاسيس دون استثناء فشكلت حفلا ورديّاً بآمال وردية وتعبيرات تشكيلية في سبيل قطع دابر الألم وأكّدت أنّ المرأة هي عنوان الحياة من رحمها تولد الإنسانية لتكون حاملة للتفاؤل وزارعة للأمل، وأنّ الحسّ الإنساني للفنان يرسّخ الأثر الفعّال للفن في التثقيف الصحي.
وقد لقي المعرض استحسان الحضور واستمتاعهم لتقتفي أثره تظاهرات أخرى في برنامج المركز الثقافي الخاص "آرت فيزيون" في شتى مجالات الفنون والآداب ويفتح أبوابه لمختلف المبادرات الإبداعية والشر


Souhir Ben Amara : l'artiste qui se renouvelle au gré des années – Portrait succinct
Souhir Ben Amara est désormais une comédienne mature. Elle est née le 27 novembre 1983 à Zaghouan. Elle a été sincèrement impressionnante et éblouissante dans la dernière pièce "Chute libre" 2025 avec Noomen Hamda, que le spectateur peut voir très prochainement lors de la 3ᵉ édition des "Saisons de la création". Parallèlement, elle a un rôle secondaire actuellement dans le film "Jad" du réalisateur Jamile Najjar, œuvre en ce moment dans les salles. Sa dernière apparition dans


"Jad" premier long métrage de Jamil Najjar sur les hôpitaux : audace du sujet et faiblesse esthétique
Durant une heure trente minutes, ce premier long métrage de Jamil Najjar fait voir sans nuance, sans concession, le calvaire des patients dans un hôpital dénommé Rahma (Pitié). Le film reconstitue donc de manière très crédible le service des urgences et plonge le récepteur de ce drame dans le débordement du personnel au point que ce dernier devient inhumain, sournois voire cynique. Ce long métrage est sincèrement audacieux et poignant. Il traite d'un sujet tabou dans notre


Assem Bettouhami dans "Cloche" : sur les pas de "El-Majnoun" de Taoufik Jebali
Dans cette pièce les moments de vie sont vécus comme des sonnettes de cloche, d'alarme. Ce sont, en vérité, des étapes, des épreuves de facto qui imposent réussite ou échec à l'individu. Celui-ci est amené à se doter d'un courage infaillible, à la résistance parfois, ou bien à courir à sa propre perte, c'est à-dire à sombrer dans un vide omnipotent. En ce sens, "Cloche" est à la fois philosophique et poétique, mettant en scène les déchirements des personnages et leur égaremen


"Île du pardon" de Ridha Béhi : cinéma d'expression sans s'adresser à un public particulier
Esthétiquement, le film est dans l'univers du cinéma italien. Il est très proche de ce qu'avait fait Francis Ford Coppola. C'est un récit d'une beauté calme, contemplative et qui a le sens de chaque détail à travers lequel Ridha Béhi a essayé, à sa façon, un peu hermétique, d'explorer la diversité de l'identité tunisienne sans se soucier à qui s'adresse vraiment ce long métrage. Le montage du film est très fluide et même magique, fruit du travail sincèrement sublime de Yassin


Le grand peintre Sami Ben Ameur : "Plus j’avance dans ma démarche, plus je ressens que l’art est un voyage spirituel et intellectuel"
Actuellement et jusqu'à la fin du mois d’octobre, c’est-à-dire au 31, au Palais Keireddine à la médina de Tunis, une exposition mérite réellement la visite, à savoir "Terre spirituelle" de Sami Ben Ameur. C’est une œuvre pleine de maturité, d’expression en même temps de quiétude et de silence.
Pour la présenter, l’artisan de cette œuvre recourt à une citation de Mahatma Gandhi, un homme de paix et de la Résistance sans violence, qui dit : "Le ciel et la terre sont en nous


Slim Dhib : "Ce que je cherche, c’est la liberté et la dignité pour que je puisse m’exprimer artistiquement sans contraintes" - Portrait d'un artiste pas comme les autres
Slim Dhib vise, de surcroît, une carrière internationale tout en étant installé en Tunisie. Il pense que c’est possible, il est optimiste quant à son propre avenir même s’il n’a pas réalisé l’ensemble de ses objectifs. Plus explicitement, il veut avoir la possibilité, de manière sans tracas administratifs, de faire un casting pour des projets étrangers, mais en même temps, il veut garder un ancrage artistique avec le public tunisien qu'il ne veut pas quitter.


L'exposition "Parcours" au Palais de Keireddine encore jusqu'au 11 octobre, rend hommage à Wadi Mhiri
Au Palais Kheireddine, les visiteurs peuvent également contempler les travaux de jeunes artistes tels que Soufïa Bensaïd, Béchir Boussandel, Férielle Doulain-Zouari, FYMA, Abir Gasmi et Kamel Zakour, Achref Guesmi, Zeineb Kaabi, Bader Klidi, Amira Lamti, Béchir Tayachi et Olfa Trabelsi et bien d'autres encore à l'Institut français de Tunisie.
L’exposition propose ainsi au visiteur de voir des installations, des vidéos, des peintures, des fragments de romans graphiques ains


Wafa Taboubi dans "Les Fugueuses" : mise à nu de l'impasse de la classe populaire
"Les Fugueuses" de Wafa Taboubi emprunte beaucoup à l'univers de Charlie Chaplin, autant dans les costumes des protagonistes sur scène que dans le jeu des comédiens, notamment dans son chef-d’œuvre The Kid (1921), entre autres. En substance, c'est une pièce révoltée mais en douceur qui conjugue humour et misère dans un environnement social handicapant. Les personnages de Wafa Taboubi sont trahis, laissés seuls et ne réalisent pas leurs objectifs existentiels. Personnages bel
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