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La comédie musicale la Belle et la Bête à l'Isad : promesse féerique tenue
La représentation d'un classique de l'art dramatique, comme celui de la Belle et la Bête, sous la forme d'une comédie musicale pour presque la première fois à l'Institut d'Art Dramatique de Tunis (Isad) est un véritable pari réussi. Trois principaux comédiens ont partagé l'affiche le 26 juin à 19 h 00, avec une pléiade de comédiens talentueux, à savoir Houssem Sfar, Oussama Ben Haj Mhamed et Takwa Fridhi. Ils ont été encadré par l'artiste et universitaire Aymen Allan.


12 Angry Men, de Sydney Lumet, s'invite à l'Isad : la communication peut-elle résoudre les maux sociaux ?
L'adaptation faite par ces futurs comédiens tunisiens allait bien plus vers la dichotomie, existante dans notre pays, notamment à la capitale, entre quartiers riches et quartiers difficiles. Autrement dit, la problématique du racisme a été remplacée par celle du gap entre les classes sociales.
Une heure durant, le public est donc mis dans une atmosphère chaude, d'enquête, de tension, mais aussi d'autodérision. C'est une ambiance claustrophobe dans laquelle les personnages


"Le Rossignol et la Rose" d'Oscar Wilde, adaptée à l'Isad : point lumineux dans temps obscure
La pièce est présentée en arabe littéraire et les acteurs ont fait un travail magnifique pour incarner les différents personnages de cette fable qui tourne autour de l'amour, du choix, du libre-arbitre, de l'amour réciproque et de sa difficulté, de l'innocence, mais aussi du refus et de l'arrogance. Son univers est féerique, subliminal et envoûtant. Dans cette perspective, les animaux portent une identité et une personnalité au même titre que les humains.


"100 ans d'amertume", une thématique d'une panoplie d’œuvres narrant l'inadaptation comme premier pas vers une expression totalement libre
Les scènes présentées dans cette exposition sont généralement internes, elles renvoient à l'univers du domicile. La peintre Souhir Hosni se qualifie comme "une incendiaire de beauté". Elle qui est juriste de formation, avec l'arrivée de la quarantaine et ses interrogations, et après avoir vécu les moult secousses et les traumas à la fois collectifs et individuels en tant que citoyenne et artiste du monde, veut à travers ses tableaux "mettre le feu aux meules du silence" dans
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