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Mohamed Ali Elhaou
4 min de lecture


Mohamed Ali Elhaou
3 min de lecture


حسام صفر
3 min de lecture


أسامة بن الحاج محمد
12 min de lecture


Mohamed Ali Elhaou
3 min de lecture


Mohamed Ali Elhaou
5 min de lecture


Mohamed Ali Elhaou
3 min de lecture


Mohamed Ali Elhaou
6 min de lecture


Mohamed Ali Elhaou
3 min de lecture


Lassaad Jamoussi
4 min de lecture


Jacaranda de Nizar Saidi et d'Abdelhalim Elmessaoudi : critique socio-économique d'un homo-tunisianus méconnaissable
L'univers présenté de Jacaranda est à la fois cinématographique et théâtral. Le point positif, c'est que les personnages prennent leur temps pour installer leur prestation et leur discours. Certaines scènes sont très intéressantes, comme celle de la rencontre entre la mère et sa progéniture après tant d'années de séparation. Cependant vu la densité du texte, qui en vérité n'a pas passé vers la dramaturgie – les situations peuvent s'exprimer davantage que présenté par le visue


"Mon espoir...ma douleur" de Naoufel Azara : pièce engagée dénonçant l'oppression des Palestiniens
"Mon espoir...ma douleur" dure ainsi une heure et 15 minutes. Elle est, de fait, une reconstitution de la souffrance palestinienne et a pour toile de fond l'œuvre d'art Guernica de Pablo Picasso, dont elle revendique la lignée et la perspective. Celles-ci convergent vers la dénonciation de la barbarie du plus fort et la déshumanisation croissante du monde qui revient à chaque fois que la communauté internationale pense atteindre l'âge de la paix et de la fraternité. En recons


Kays Mejri dans Barzakh, un long métrage qui aurait pu être un bon court-métrage
Le film, dont le rythme est très long majoritairement et les plans très sombres, est présenté sous une forme de cauchemar qui hante le protagoniste du film. Celui-ci vit avec des sentiments étranges, des hallucinations, des souvenirs du meurtre, de la haine, du sang, de la vengeance, de la terreur, une maison hantée et une terre assoifée de chairs et d'organes humains. L'univers de cette fiction relève de la magie noire, des rencontres acides et toxiques et d'une musique qui


Mouez, chanteur d'origine tunisienne investissant dans la beauté lyrique de la musique italienne
Au fil des années, Mouez n’a jamais abandonné son rêve de devenir chanteur. En 2023, lors d’un concert du fameux groupe italien Modà, son groupe de prédilection, il écrivit une chanson intitulée Sei per me, dédiée à son ex-femme. Le 21 septembre 2023, il participa au Tour Music Fest et atteignit la demi-finale. En janvier 2024, il fut sélectionné par le producteur Mimmo Paganelli dans un concours, où il interpréta un morceau inédit et remporta le prix de la critique à l’Ital


Haifa Melliti, peintre à Montpellier : artiste en quête de reconnaissance de ses œuvres
Haifa Melliti est née à Béziers en 1984. Parallèlement, elle est très attachée à ses racines tunisiennes qu'elle affiche de temps en temps dans des tableaux. Elle décrit ce lien avec ces mots : "Je suis profondément attachée à mes racines. La Tunisie est pour moi une terre de poésie, de mémoire et de transmission. Mes couleurs, mes symboles et mes motifs portent souvent l’empreinte de mon pays, car c’est mon socle, ma lumière d’origine." Pour l'instant, ses œuvres sont présen


Si le théâtre se tait...il perd vie
Quelle est la vérité du théâtre aujourd'hui, dans le parcours de l'humanité ?
Nous posons cette question au moment où des peuples sont exterminés et affamés, où les écrans, sous leurs différentes formes, surveillent et détruisent les esprits en les empêchant de penser, où une minorité de riches amasse les ressources sur la moitié de la planète, et où la nature est lentement massacrée dans un crime quotidien insensible et parfaitement orchestré.
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