Hammamet Art et CultureCulture Tunisie Culture Tunisie

top of page

Site qui aborde les activités culturelles en matière de musique, théâtre, danse, cinéma

À l'affiche

À l'espace El teatro et jusqu'au 21 juin courant, à Tunis, les amateurs des arts plastiques peuvent aller voir les œuvres de Souhir Hosni, une peintre autodidacte. Elle est née le 10 août 1978 à Tunis et fait l'ensemble de son cursus scolaire et universitaire à Tunis, notamment à la faculté des sciences Juridiques, Politiques et Sociales de Tunis où elle a poursuivi ses études jusqu'au diplôme de troisième cycle. Actuellement, elle est juge.

À l'espace El teatro et jusqu'au 21 juin courant, à Tunis, les amateurs des arts plastiques peuvent aller voir les œuvres de Souhir Hosni, une peintre autodidacte. Elle est née le 10 août 1978 à Tunis et fait l'ensemble de son cursus scolaire et universitaire à Tunis, notamment à la faculté des sciences Juridiques, Politiques et Sociales de Tunis où elle a poursuivi ses études jusqu'au diplôme de troisième cycle. Actuellement, elle est juge.

"100 ans d'amertume", une thématique d'une panoplie d’œuvres narrant l'inadaptation comme premier pas vers une expression totalement libre

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

La pièce "Le Capitaine", Al-Robane : navire égaré et perte de la boussole humaine

La pièce "Le Capitaine", Al-Robane : navire égaré et perte de la boussole humaine

La pièce "Le Capitaine", Al-Robane : navire égaré et perte de la boussole humaine

Noté 5 étoiles sur 5.(2)

"Gouna" de Farhat Debbech : récits des douleurs du Sud et dialogues poétiques

"Gouna" de Farhat Debbech : récits des douleurs du Sud et dialogues poétiques

"Gouna" de Farhat Debbech : récits des douleurs du Sud et dialogues poétiques

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

"Sous pression" de Rayen Karoui : art en luttes dans l'humour, l'ironie et le clownesque

"Sous pression" de Rayen Karoui : art en luttes dans l'humour, l'ironie et le clownesque

"Sous pression" de Rayen Karoui : art en luttes dans l'humour, l'ironie et le clownesque

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Du 12 au 29 juin 2025 : rendez-vous avec la 8e édition du Festival International des Arts du Cirque et de la Rue

Du 12 au 29 juin 2025 : rendez-vous avec la 8e édition du Festival International des Arts du Cirque et de la Rue

Du 12 au 29 juin 2025 : rendez-vous avec la 8e édition du Festival International des Arts du Cirque et de la Rue

Binétna, pièce de Hazem Bouhlali : théâtre montrant la cupidité avec un brin d'humour

Binétna, pièce de Hazem Bouhlali : théâtre montrant la cupidité avec un brin d'humour

Binétna, pièce de Hazem Bouhlali : théâtre montrant la cupidité avec un brin d'humour

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Mohamed Dahech dans Galb H'jar, Silentium, de Nidhal Chatta

Mohamed Dahech dans Galb H'jar, Silentium, de Nidhal Chatta

Galb H'jar de Nidhal Chatta : film d'une beauté exquise dépassant l'intrigue même

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Le projet musical d'Amal Guermazi ressemble, à bien des égards, dans ses grandes lignes à ce que fait André Rieu en Europe ; pour les moins ambitieux, il ressemble à celui de Yasmine Azaiez ou encore à ce que fait le musicien marocain Bouchart qui a été à la 58e édition du festival de Carthage. En d'autres termes, c'est une représentation fluide, qui demande à quelques moments la participation du public et qui ne demande pas beaucoup de concentration pour comprendre l'essence des mélodies et leur cohérence.

Le projet musical d'Amal Guermazi ressemble, à bien des égards, dans ses grandes lignes à ce que fait André Rieu en Europe ; pour les moins ambitieux, il ressemble à celui de Yasmine Azaiez ou encore à ce que fait le musicien marocain Bouchart qui a été à la 58e édition du festival de Carthage. En d'autres termes, c'est une représentation fluide, qui demande à quelques moments la participation du public et qui ne demande pas beaucoup de concentration pour comprendre l'essence des mélodies et leur cohérence.

Amal Guermazi, Meherzia Touil et Mehdi Ayachi au Théâtre Municipal de Tunis : rouge, blanc et enchantement

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

À l'apogée de la domination de la télévision dans les années 1960, considérée comme une avancée technologique sans précédent dans l'histoire et confirmée comme le dispositif de communication le plus puissant de l'époque de l'après Deuxième Guerre mondiale. En effet, la télévision s'est accaparée d'importantes portions de la géographie de la radio et a occupé de plus en plus une part des fonctions d'information, d'éducation, de culture, de divertissement, de service rendu à la sphère politique et de moteur orientant l'attention sur les sujets marquants l'espace public.

À l'apogée de la domination de la télévision dans les années 1960, considérée comme une avancée technologique sans précédent dans l'histoire et confirmée comme le dispositif de communication le plus puissant de l'époque de l'après Deuxième Guerre mondiale. En effet, la télévision s'est accaparée d'importantes portions de la géographie de la radio et a occupé de plus en plus une part des fonctions d'information, d'éducation, de culture, de divertissement, de service rendu à la sphère politique et de moteur orientant l'attention sur les sujets marquants l'espace public.

Art dramatique à la télévision en Tunisie : faudrait-il une nouvelle Agence nationale de promotion audiovisuelle, comme ce fut dans les années 90 ?

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Toi, ou toi, cher professeur ou docteur, toi qui es frappé saisonnièrement par des crises d'épilepsie et un gonflement de l'ego, et qui mènes des campagnes de haine abominables contre ceux qui ont accompli, innové et réussi, au lieu de regarder ton échec et ta perte.

Toi, ou toi, cher professeur ou docteur, toi qui es frappé saisonnièrement par des crises d'épilepsie et un gonflement de l'ego, et qui mènes des campagnes de haine abominables contre ceux qui ont accompli, innové et réussi, au lieu de regarder ton échec et ta perte.

Au professeur/docteur qui se cache derrière son diplôme...le théâtre ne te reconnaît pas !

Noté 5 étoiles sur 5.(2)

Derniers articles

À l'espace El teatro et jusqu'au 21 juin courant, à Tunis, les amateurs des arts plastiques peuvent aller voir les œuvres de Souhir Hosni, une peintre autodidacte. Elle est née le 10 août 1978 à Tunis et fait l'ensemble de son cursus scolaire et universitaire à Tunis, notamment à la faculté des sciences Juridiques, Politiques et Sociales de Tunis où elle a poursuivi ses études jusqu'au diplôme de troisième cycle. Actuellement, elle est juge.

À l'espace El teatro et jusqu'au 21 juin courant, à Tunis, les amateurs des arts plastiques peuvent aller voir les œuvres de Souhir Hosni, une peintre autodidacte. Elle est née le 10 août 1978 à Tunis et fait l'ensemble de son cursus scolaire et universitaire à Tunis, notamment à la faculté des sciences Juridiques, Politiques et Sociales de Tunis où elle a poursuivi ses études jusqu'au diplôme de troisième cycle. Actuellement, elle est juge.

"100 ans d'amertume", une thématique d'une panoplie d’œuvres narrant l'inadaptation comme premier pas vers une expression totalement libre

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Mohamed Ali Elhaou

4 min de lecture

190 vues

La pièce "Le Capitaine", Al-Robane : navire égaré et perte de la boussole humaine

La pièce "Le Capitaine", Al-Robane : navire égaré et perte de la boussole humaine

La pièce "Le Capitaine", Al-Robane : navire égaré et perte de la boussole humaine

Noté 5 étoiles sur 5.(2)

Mohamed Ali Elhaou

6 min de lecture

89 vues

"Gouna" de Farhat Debbech : récits des douleurs du Sud et dialogues poétiques

"Gouna" de Farhat Debbech : récits des douleurs du Sud et dialogues poétiques

"Gouna" de Farhat Debbech : récits des douleurs du Sud et dialogues poétiques

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Mohamed Ali Elhaou

3 min de lecture

76 vues

"Sous pression" de Rayen Karoui : art en luttes dans l'humour, l'ironie et le clownesque

"Sous pression" de Rayen Karoui : art en luttes dans l'humour, l'ironie et le clownesque

"Sous pression" de Rayen Karoui : art en luttes dans l'humour, l'ironie et le clownesque

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Mohamed Ali Elhaou

4 min de lecture

124 vues

Du 12 au 29 juin 2025 : rendez-vous avec la 8e édition du Festival International des Arts du Cirque et de la Rue

Du 12 au 29 juin 2025 : rendez-vous avec la 8e édition du Festival International des Arts du Cirque et de la Rue

Du 12 au 29 juin 2025 : rendez-vous avec la 8e édition du Festival International des Arts du Cirque et de la Rue

Mohamed Ali Elhaou

2 min de lecture

66 vues

Binétna, pièce de Hazem Bouhlali : théâtre montrant la cupidité avec un brin d'humour

Binétna, pièce de Hazem Bouhlali : théâtre montrant la cupidité avec un brin d'humour

Binétna, pièce de Hazem Bouhlali : théâtre montrant la cupidité avec un brin d'humour

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Mohamed Ali Elhaou

2 min de lecture

105 vues

Mohamed Dahech dans Galb H'jar, Silentium, de Nidhal Chatta

Mohamed Dahech dans Galb H'jar, Silentium, de Nidhal Chatta

Galb H'jar de Nidhal Chatta : film d'une beauté exquise dépassant l'intrigue même

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Mohamed Ali Elhaou

4 min de lecture

278 vues

Le projet musical d'Amal Guermazi ressemble, à bien des égards, dans ses grandes lignes à ce que fait André Rieu en Europe ; pour les moins ambitieux, il ressemble à celui de Yasmine Azaiez ou encore à ce que fait le musicien marocain Bouchart qui a été à la 58e édition du festival de Carthage. En d'autres termes, c'est une représentation fluide, qui demande à quelques moments la participation du public et qui ne demande pas beaucoup de concentration pour comprendre l'essence des mélodies et leur cohérence.

Le projet musical d'Amal Guermazi ressemble, à bien des égards, dans ses grandes lignes à ce que fait André Rieu en Europe ; pour les moins ambitieux, il ressemble à celui de Yasmine Azaiez ou encore à ce que fait le musicien marocain Bouchart qui a été à la 58e édition du festival de Carthage. En d'autres termes, c'est une représentation fluide, qui demande à quelques moments la participation du public et qui ne demande pas beaucoup de concentration pour comprendre l'essence des mélodies et leur cohérence.

Amal Guermazi, Meherzia Touil et Mehdi Ayachi au Théâtre Municipal de Tunis : rouge, blanc et enchantement

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Mohamed Ali Elhaou

3 min de lecture

112 vues

À l'apogée de la domination de la télévision dans les années 1960, considérée comme une avancée technologique sans précédent dans l'histoire et confirmée comme le dispositif de communication le plus puissant de l'époque de l'après Deuxième Guerre mondiale. En effet, la télévision s'est accaparée d'importantes portions de la géographie de la radio et a occupé de plus en plus une part des fonctions d'information, d'éducation, de culture, de divertissement, de service rendu à la sphère politique et de moteur orientant l'attention sur les sujets marquants l'espace public.

À l'apogée de la domination de la télévision dans les années 1960, considérée comme une avancée technologique sans précédent dans l'histoire et confirmée comme le dispositif de communication le plus puissant de l'époque de l'après Deuxième Guerre mondiale. En effet, la télévision s'est accaparée d'importantes portions de la géographie de la radio et a occupé de plus en plus une part des fonctions d'information, d'éducation, de culture, de divertissement, de service rendu à la sphère politique et de moteur orientant l'attention sur les sujets marquants l'espace public.

Art dramatique à la télévision en Tunisie : faudrait-il une nouvelle Agence nationale de promotion audiovisuelle, comme ce fut dans les années 90 ?

Noté 5 étoiles sur 5.(1)

Ramzi Ayari

5 min de lecture

78 vues

Toi, ou toi, cher professeur ou docteur, toi qui es frappé saisonnièrement par des crises d'épilepsie et un gonflement de l'ego, et qui mènes des campagnes de haine abominables contre ceux qui ont accompli, innové et réussi, au lieu de regarder ton échec et ta perte.

Toi, ou toi, cher professeur ou docteur, toi qui es frappé saisonnièrement par des crises d'épilepsie et un gonflement de l'ego, et qui mènes des campagnes de haine abominables contre ceux qui ont accompli, innové et réussi, au lieu de regarder ton échec et ta perte.

Au professeur/docteur qui se cache derrière son diplôme...le théâtre ne te reconnaît pas !

Noté 5 étoiles sur 5.(2)

Taoufik Jebali

10 min de lecture

312 vues

Younes Nawar : " le théâtre est pour moi un piège agréable…c’est le moment pour les entreprises de mettre de l’argent pour financer les activités culturelles"

Younes Nawar : " le théâtre est pour moi un piège agréable…c’est le moment pour les entreprises de mettre de l’argent pour financer les activités culturelles"

Younes Nawar : " le théâtre est pour moi un piège agréable…c’est le moment pour les entreprises de mettre de l’argent pour financer les activités culturelles"

Younes est, en l’occurrence, un comédien frayant peu à peu son chemin dans l’art dramatique et le spectacle. Il est né le 7 juillet 1998. Na

Archives

bottom of page