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Ainsi, il est donc difficile de déterminer le genre musical que présente cette cantatrice qui a sillonné le monde à la recherche de son identité artistique et surtout qui brise la zone de confort de l'écoute chez le spectateur. Celui-ci la plupart du temps demeure admiratif de l'ambiance énergique qu'Emel Mathlouthi lui transmet.

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Ainsi, comme cela s'est montré dans cette nouvelle lecture de "Ainsi parlait Abou Hourayra", le plaisir n'est pas une jouissance temporaire, c'est une fenêtre vers l'éternité en profitant de l'instant de la danse et de la performance. Il n'est donc pas éphémère et conduit à la concrétisation de ses rêves, les émotions refoulées d'Abou Hourayra, qui cherchent à se produire et à voir le jour à un instant substantiel total. Œuvre, relecture et représentation sublimes, à voir absolument.

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Dimanche 23 juin 2025 à l'Institut d'art dramatique à Tunis (Isad), les passionnés du théâtre avaient rendez-vous avec une œuvre se situant entre le cinéma et le théâtre. Il s'agit en effet de 12 Angry Men de Sydney Lumet. Sept comédiens jouaient dans cette représentation, à savoir : Julia Souayeh, Senda Ahmadi, Wided Bargougui, Nourhène Jaafar, Jasser Hasnaoui, Adam Wakad et Rayan Sallem. Cette œuvre, à sa première diffusion au public, se jouait avec 12 acteurs ; elle a été adaptée à 7 comédiens, une heure durant, sous la supervision de l'artiste et universitaire Hamadi Louheibi.

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À l'espace El teatro et jusqu'au 21 juin courant, à Tunis, les amateurs des arts plastiques peuvent aller voir les œuvres de Souhir Hosni, une peintre autodidacte. Elle est née le 10 août 1978 à Tunis et fait l'ensemble de son cursus scolaire et universitaire à Tunis, notamment à la faculté des sciences Juridiques, Politiques et Sociales de Tunis où elle a poursuivi ses études jusqu'au diplôme de troisième cycle. Actuellement, elle est juge.

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Sans aucun doute, le spectacle pose un dialogue entre les générations et montre que la génération actuelle de nos artistes cherche à internationaliser notre riche patrimoine musical en le faisant connaitre au monde. Aussi, avec ce genre de spectacle de qualité, le festival de la Médina, montre encore une fois qu'il investit dans un art de qualité, c'est sa façon de résister à la concurrence, au temps et à l'art-faux occupant presque tout l'espace sonore de la société.

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"Aarboun 3" de Fadhel Jaziri et Haythem Lahdhiri : l'universalisation de la mélodie tunisienne est possible

C'est, en réalité, la troisième déclinaison d'un projet ayant commencé en 2018. Il présente en effet une revisitation des mélodies

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